Editions du seuil, 2001
Traduction de Geneviève Leibrich
Un spectacle de la compagnie Ololo
Tout public à partir de 12 ans
Un homme décide de partir à la recherche d’une île inconnue.
Il demande un bateau au roi. Le roi refuse.
Fin de l’histoire !?
Non, car l’appel du large est intense et l’homme, persévérant.
Donc, même s’il n’a jamais navigué, il devient capitaine d’une caravelle.
Tandis qu’il part à la recherche d’un équipage, la servante du palais du roi décide de saisir cette chance et d’embarquer elle aussi.
Entre rêve et réalité, un grand voyage commence.
Pour le reste, laissons faire le destin...
Texte bref, Le conte de l’île inconnue est une quête dans le sillage de la rencontre et du désir.
Avec une fausse ingénuité et une délicieuse ironie, José Saramago, auteur portugais du XXème siècle, Prix Nobel de Littérature 1998, fait souffler un vent de liberté et d’audace.
Un rendez-vous vers l’altérité et la découverte de soi-même.
Editions du seuil, 2001
Traduction de Geneviève Leibrich
Un spectacle de la compagnie Ololo
Un spectacle Tout public à partir de 12 ans
Un homme décide de partir à la recherche d’une île inconnue.
Il demande un bateau au roi. Le roi refuse.
Fin de l’histoire !?
Non, car l’appel du large est intense et l’homme, persévérant.
Donc, même s’il n’a jamais navigué, il devient capitaine d’une caravelle.
Tandis qu’il part à la recherche d’un équipage, la servante du palais du roi décide de saisir cette chance et d’embarquer elle aussi.
Entre rêve et réalité, un grand voyage commence.
Pour le reste, laissons faire le destin...
Editions du seuil, 2001
Traduction de Geneviève Leibrich
Un spectacle de la compagnie Ololo
Un spectacle Tout public à partir de 12 ans
Un homme décide de partir à la recherche d’une île inconnue.
Il demande un bateau au roi. Le roi refuse.
Fin de l’histoire !?
Non, car l’appel du large est intense et l’homme, persévérant.
Donc, même s’il n’a jamais navigué, il devient capitaine d’une caravelle.
Tandis qu’il part à la recherche d’un équipage, la servante du palais du roi décide de saisir cette chance et d’embarquer elle aussi.
Entre rêve et réalité, un grand voyage commence.
Pour le reste, laissons faire le destin...
Un homme décide de partir à la recherche d’une île inconnue.
Il demande un bateau au roi. Le roi refuse. Fin de l’histoire !?
Non, car l’appel du large est intense et l’homme, persévérant.
Donc, même s’il n’a jamais navigué, il devient capitaine d’une caravelle. Tandis qu’il part à la recherche d’un équipage, la servante du palais du roi décide de saisir cette chance et d’embarquer elle aussi.
Entre rêve et réalité, un grand voyage commence.
Pour le reste, laissons faire le destin...
Texte bref, Le conte de l’île inconnue est une quête dans le sillage de la rencontre et du désir.
Avec une fausse ingénuité et une délicieuse ironie, José Saramago, auteur portugais du XXème siècle, Prix Nobel de Littérature 1998, fait souffler un vent de liberté et d’audace.
Un rendez-vous vers l’altérité et la découverte de soi-même.
Texte bref, Le conte de l’île inconnue est une quête dans le sillage de la rencontre et du désir.
Avec une fausse ingénuité et une délicieuse ironie, José Saramago, auteur portugais du XXème siècle, Prix Nobel de Littérature 1998, fait souffler un vent de liberté et d’audace.
Un rendez-vous vers l’altérité et la découverte de soi-même.
Texte bref, Le conte de l’île inconnue est une quête dans le sillage de la rencontre et du désir.
Avec une fausse ingénuité et une délicieuse ironie, José Saramago, auteur portugais du XXème siècle, Prix Nobel de Littérature 1998, fait souffler un vent de liberté et d’audace.
Un rendez-vous vers l’altérité et la découverte de soi-même.
NOTE D'INTENTION
Passerelle vers l’œuvre de José Saramago, Le Conte de l’île inconnue nous a d’emblée séduit par son incontestable originalité, le regard lucide sur la nature humaine porté par une écriture concise, un imaginaire ciselé, et la portée de ce voyage aux frontières du conte merveilleux et du conte philosophique.
Si le projet initial était une lecture, la dynamique de la narration joueuse, les joutes verbales entre les personnages, la présence manifeste, parfois moqueuse de la parole du narrateur nous ont convaincu d’éprouver ce texte sur le plateau, en duo.
Un duo femme/homme, fondé sur une égalité - thématique fondamentale chez José Saramago - sans oublier les autres thématiques humanistes développées au fil de l’œuvre de cet auteur : le voyage, la rencontre, l’altérité, les rêves et désirs d’émancipation, le libre arbitre.
Et enfin, le questionnement de nos modes de vie individualistes dans une société figée par les habitudes, remettant en question, sans imposer d’idéologie, toute forme de pouvoir qui s’élève en dogme.
Une dimension subtilement construite par une ironie subversive jubilatoire.
NOTE D'INTENTION
Passerelle vers l’œuvre de José Saramago, Le Conte de l’île inconnue nous a d’emblée séduit par son incontestable originalité, le regard lucide sur la nature humaine porté par une écriture concise, un imaginaire ciselé, et la portée de ce voyage aux frontières du conte merveilleux et du conte philosophique.
Si le projet initial était une lecture, la dynamique de la narration joueuse, les joutes verbales entre les personnages, la présence manifeste, parfois moqueuse de la parole du narrateur nous ont convaincu d’éprouver ce texte sur le plateau, en duo.
Un duo femme/homme, fondé sur une égalité - thématique fondamentale chez José Saramago - sans oublier les autres thématiques humanistes développées au fil de l’œuvre de cet auteur : le voyage, la rencontre, l’altérité, les rêves et désirs d’émancipation, le libre arbitre.
Et enfin, le questionnement de nos modes de vie individualistes dans une société figée par les habitudes, remettant en question, sans imposer d’idéologie, toute forme de pouvoir qui s’élève en dogme.
Une dimension subtilement construite par une ironie subversive jubilatoire.
NOTE D'INTENTION
Passerelle vers l’œuvre de José Saramago, Le Conte de l’île inconnue nous a d’emblée séduit par son incontestable originalité, le regard lucide sur la nature humaine porté par une écriture concise, un imaginaire ciselé, et la portée de ce voyage aux frontières du conte merveilleux et du conte philosophique.
Si le projet initial était une lecture, la dynamique de la narration joueuse, les joutes verbales entre les personnages, la présence manifeste, parfois moqueuse de la parole du narrateur nous ont convaincu d’éprouver ce texte sur le plateau, en duo.
Un duo femme/homme, fondé sur une égalité - thématique fondamentale chez José Saramago - sans oublier les autres thématiques humanistes développées au fil de l’œuvre de cet auteur : le voyage, la rencontre, l’altérité, les rêves et désirs d’émancipation, le libre arbitre.
Et enfin, le questionnement de nos modes de vie individualistes dans une société figée par les habitudes, remettant en question, sans imposer d’idéologie, toute forme de pouvoir qui s’élève en dogme.
Une dimension subtilement construite par une ironie subversive jubilatoire.
NOTE D'INTENTION
Passerelle vers l’œuvre de José Saramago, Le Conte de l’île inconnue nous a d’emblée séduit par son incontestable originalité, le regard lucide sur la nature humaine porté par une écriture concise, un imaginaire ciselé, et la portée de ce voyage aux frontières du conte merveilleux et du conte philosophique.
Si le projet initial était une lecture, la dynamique de la narration joueuse, les joutes verbales entre les personnages, la présence manifeste, parfois moqueuse de la parole du narrateur nous ont convaincu d’éprouver ce texte sur le plateau, en duo.
Un duo femme/homme, fondé sur une égalité - thématique fondamentale chez José Saramago - sans oublier les autres thématiques humanistes développées au fil de l’œuvre de cet auteur : le voyage, la rencontre, l’altérité, les rêves et désirs d’émancipation, le libre arbitre.
Et enfin, le questionnement de nos modes de vie individualistes dans une société figée par les habitudes, remettant en question, sans imposer d’idéologie, toute forme de pouvoir qui s’élève en dogme.
Une dimension subtilement construite par une ironie subversive jubilatoire.
NOTES DE MISE EN SCENE
1 - Une histoire proche
Le conte de l’île inconnue est une quête qui pourrait être philosophique et semble s’achever par la naissance d’un amour. Classique? Ce serait sans compter sur l’espièglerie d’un auteur qui ne respecte aucun genre et crée sa propre forme.
Tout l’enjeu de la mise en scène est de se saisir de cette déambulation qui offre une formidable palette de jeu aux interprètes, tour à tour narrateurs, personnages, observateurs critiques et complices ; une narration ludique et subjective qui crée des surprises. On entre alors dans une comédie pour deux personnages simples, l’homme (jamais nommé) et la femme, souvent appelée la servante du fait de son métier et son expertise dans ce domaine, et quelques figures (risibles) du pouvoir, le roi, le philosophe voire le capitaine.
La joyeuse difficulté de l’interprétation est alors de faire entendre les reliefs, les tours et détours, donner une existence concrète aux situations, révéler la dimension sociale du texte. Les narrateurs constructeurs mesurent entre eux les effets de leur récit, reconfigurent à leur guise les cartes de leur histoire, la commentent, amènent les spectateurs à s’y projeter, s’y égarer aussi.
Faire entendre la langue de Saramago c’est prendre le temps du jeu, des regards et des silences. C’est aussi être précis, lisibles, véloces, tendres et pudiques. C’est ainsi que nous sommes touchés par ce moment hors du commun sous forme de pacte de connivence et de confidence.
2 - Une scénographie pour l’imaginaire
Pour livrer cette histoire, les deux protagonistes n’ont besoin de presque rien, une table, deux chaises et une vieille radio qui diffuse des airs chéris du passé. La nostalgie du Fado est dans l’air, en transition et espace de respiration.
Il n’en faut pas plus pour construire un voyage intemporel et non situé géographiquement, fait d’attentes et de franchissements. D’où le caractère mouvant des espaces de jeu ; à la fois intérieurs et extérieurs, les narrateurs échafaudent ces espaces au gré du récit.
Cette mobilité des espaces - le palais du roi, les portes, le port, le bateau, l’île, fait appel à l’imaginaire affectif du spectateur. Ces glissements sont poussés à l’extrême dans la dernière partie du texte, le rêve. Lieu du flottement des limites, l’espace y est encore plus dépouillé, concentré autour d’un bateau de papier, réceptacle des révélations. Cette troisième partie est autant une arrivée qu’un départ. Le désir de voyage se transmets dans un espace ouvert. C’est à chaque personne présente de s’en saisir.
3 - De la rencontre
Un des partis pris de notre interprétation est de générer une émotion simple faisant appel à l’instantané du ressenti. Pour cela nous avons fait le choix d’une alternance entre adresse directe au public et scènes jouées dont le spectateur est témoin et complice. Cette forme de proximité éclaire aussi notre volonté de jouer dans une multiplicité de lieux, intérieurs ou extérieurs, lieux non dédiés, jardins, hall, médiathèques, salons… De fait, l’aspect technique est réduit à son minimum et s’adapte aux lieux proposés. C’est un voyage léger qui se joue et se rejoue.
NOTES DE MISE EN SCENE
1 - Une histoire proche
Le conte de l’île inconnue est une quête qui pourrait être philosophique et semble s’achever par la naissance d’un amour. Classique? Ce serait sans compter sur l’espièglerie d’un auteur qui ne respecte aucun genre et crée sa propre forme.
Tout l’enjeu de la mise en scène est de se saisir de cette déambulation qui offre une formidable palette de jeu aux interprètes, tour à tour narrateurs, personnages, observateurs critiques et complices ; une narration ludique et subjective qui crée des surprises. On entre alors dans une comédie pour deux personnages simples, l’homme (jamais nommé) et la femme, souvent appelée la servante du fait de son métier et son expertise dans ce domaine, et quelques figures (risibles) du pouvoir, le roi, le philosophe voire le capitaine.
La joyeuse difficulté de l’interprétation est alors de faire entendre les reliefs, les tours et détours, donner une existence concrète aux situations, révéler la dimension sociale du texte. Les narrateurs constructeurs mesurent entre eux les effets de leur récit, reconfigurent à leur guise les cartes de leur histoire, la commentent, amènent les spectateurs à s’y projeter, s’y égarer aussi.
Faire entendre la langue de Saramago c’est prendre le temps du jeu, des regards et des silences. C’est aussi être précis, lisibles, véloces, tendres et pudiques. C’est ainsi que nous sommes touchés par ce moment hors du commun sous forme de pacte de connivence et de confidence.
2 - Une scénographie pour l’imaginaire
Pour livrer cette histoire, les deux protagonistes n’ont besoin de presque rien, une table, deux chaises et une vieille radio qui diffuse des airs chéris du passé. La nostalgie du Fado est dans l’air, en transition et espace de respiration.
Il n’en faut pas plus pour construire un voyage intemporel et non situé géographiquement, fait d’attentes et de franchissements. D’où le caractère mouvant des espaces de jeu ; à la fois intérieurs et extérieurs, les narrateurs échafaudent ces espaces au gré du récit.
Cette mobilité des espaces - le palais du roi, les portes, le port, le bateau, l’île, fait appel à l’imaginaire affectif du spectateur. Ces glissements sont poussés à l’extrême dans la dernière partie du texte, le rêve. Lieu du flottement des limites, l’espace y est encore plus dépouillé, concentré autour d’un bateau de papier, réceptacle des révélations. Cette troisième partie est autant une arrivée qu’un départ. Le désir de voyage se transmets dans un espace ouvert. C’est à chaque personne présente de s’en saisir.
3 - De la rencontre
Un des partis pris de notre interprétation est de générer une émotion simple faisant appel à l’instantané du ressenti. Pour cela nous avons fait le choix d’une alternance entre adresse directe au public et scènes jouées dont le spectateur est témoin et complice. Cette forme de proximité éclaire aussi notre volonté de jouer dans une multiplicité de lieux, intérieurs ou extérieurs, lieux non dédiés, jardins, hall, médiathèques, salons… De fait, l’aspect technique est réduit à son minimum et s’adapte aux lieux proposés. C’est un voyage léger qui se joue et se rejoue.
NOTES DE MISE EN SCENE
1 - Une histoire proche
Le conte de l’île inconnue est une quête qui pourrait être philosophique et semble s’achever par la naissance d’un amour. Classique? Ce serait sans compter sur l’espièglerie d’un auteur qui ne respecte aucun genre et crée sa propre forme.
Tout l’enjeu de la mise en scène est de se saisir de cette déambulation qui offre une formidable palette de jeu aux interprètes, tour à tour narrateurs, personnages, observateurs critiques et complices ; une narration ludique et subjective qui crée des surprises. On entre alors dans une comédie pour deux personnages simples, l’homme (jamais nommé) et la femme, souvent appelée la servante du fait de son métier et son expertise dans ce domaine, et quelques figures (risibles) du pouvoir, le roi, le philosophe voire le capitaine.
La joyeuse difficulté de l’interprétation est alors de faire entendre les reliefs, les tours et détours, donner une existence concrète aux situations, révéler la dimension sociale du texte. Les narrateurs constructeurs mesurent entre eux les effets de leur récit, reconfigurent à leur guise les cartes de leur histoire, la commentent, amènent les spectateurs à s’y projeter, s’y égarer aussi.
Faire entendre la langue de Saramago c’est prendre le temps du jeu, des regards et des silences. C’est aussi être précis, lisibles, véloces, tendres et pudiques. C’est ainsi que nous sommes touchés par ce moment hors du commun sous forme de pacte de connivence et de confidence.
2 - Une scénographie pour l’imaginaire
Pour livrer cette histoire, les deux protagonistes n’ont besoin de presque rien, une table, deux chaises et une vieille radio qui diffuse des airs chéris du passé. La nostalgie du Fado est dans l’air, en transition et espace de respiration.
Il n’en faut pas plus pour construire un voyage intemporel et non situé géographiquement, fait d’attentes et de franchissements. D’où le caractère mouvant des espaces de jeu ; à la fois intérieurs et extérieurs, les narrateurs échafaudent ces espaces au gré du récit.
Cette mobilité des espaces - le palais du roi, les portes, le port, le bateau, l’île, fait appel à l’imaginaire affectif du spectateur. Ces glissements sont poussés à l’extrême dans la dernière partie du texte, le rêve. Lieu du flottement des limites, l’espace y est encore plus dépouillé, concentré autour d’un bateau de papier, réceptacle des révélations. Cette troisième partie est autant une arrivée qu’un départ. Le désir de voyage se transmets dans un espace ouvert. C’est à chaque personne présente de s’en saisir.
3 - De la rencontre
Un des partis pris de notre interprétation est de générer une émotion simple faisant appel à l’instantané du ressenti. Pour cela nous avons fait le choix d’une alternance entre adresse directe au public et scènes jouées dont le spectateur est témoin et complice. Cette forme de proximité éclaire aussi notre volonté de jouer dans une multiplicité de lieux, intérieurs ou extérieurs, lieux non dédiés, jardins, hall, médiathèques, salons… De fait, l’aspect technique est réduit à son minimum et s’adapte aux lieux proposés. C’est un voyage léger qui se joue et se rejoue.
NOTES DE MISE EN SCENE
1 - Une histoire proche
Le conte de l’île inconnue est une quête qui pourrait être philosophique et semble s’achever par la naissance d’un amour. Classique? Ce serait sans compter sur l’espièglerie d’un auteur qui ne respecte aucun genre et crée sa propre forme.
Tout l’enjeu de la mise en scène est de se saisir de cette déambulation qui offre une formidable palette de jeu aux interprètes, tour à tour narrateurs, personnages, observateurs critiques et complices ; une narration ludique et subjective qui crée des surprises. On entre alors dans une comédie pour deux personnages simples, l’homme (jamais nommé) et la femme, souvent appelée la servante du fait de son métier et son expertise dans ce domaine, et quelques figures (risibles) du pouvoir, le roi, le philosophe voire le capitaine.
La joyeuse difficulté de l’interprétation est alors de faire entendre les reliefs, les tours et détours, donner une existence concrète aux situations, révéler la dimension sociale du texte. Les narrateurs constructeurs mesurent entre eux les effets de leur récit, reconfigurent à leur guise les cartes de leur histoire, la commentent, amènent les spectateurs à s’y projeter, s’y égarer aussi.
Faire entendre la langue de Saramago c’est prendre le temps du jeu, des regards et des silences. C’est aussi être précis, lisibles, véloces, tendres et pudiques. C’est ainsi que nous sommes touchés par ce moment hors du commun sous forme de pacte de connivence et de confidence.
2 - Une scénographie pour l’imaginaire
Pour livrer cette histoire, les deux protagonistes n’ont besoin de presque rien, une table, deux chaises et une vieille radio qui diffuse des airs chéris du passé. La nostalgie du Fado est dans l’air, en transition et espace de respiration.
Il n’en faut pas plus pour construire un voyage intemporel et non situé géographiquement, fait d’attentes et de franchissements. D’où le caractère mouvant des espaces de jeu ; à la fois intérieurs et extérieurs, les narrateurs échafaudent ces espaces au gré du récit.
Cette mobilité des espaces - le palais du roi, les portes, le port, le bateau, l’île, fait appel à l’imaginaire affectif du spectateur. Ces glissements sont poussés à l’extrême dans la dernière partie du texte, le rêve. Lieu du flottement des limites, l’espace y est encore plus dépouillé, concentré autour d’un bateau de papier, réceptacle des révélations. Cette troisième partie est autant une arrivée qu’un départ. Le désir de voyage se transmets dans un espace ouvert. C’est à chaque personne présente de s’en saisir.
3 - De la rencontre
Un des partis pris de notre interprétation est de générer une émotion simple faisant appel à l’instantané du ressenti. Pour cela nous avons fait le choix d’une alternance entre adresse directe au public et scènes jouées dont le spectateur est témoin et complice. Cette forme de proximité éclaire aussi notre volonté de jouer dans une multiplicité de lieux, intérieurs ou extérieurs, lieux non dédiés, jardins, hall, médiathèques, salons… De fait, l’aspect technique est réduit à son minimum et s’adapte aux lieux proposés. C’est un voyage léger qui se joue et se rejoue.
Écrivain portugais (1922-2010) José Saramago est une des personnalités majeures de la littérature européenne de la fin du XXème début XXIeme siècle, et reste jusqu'au jour l'unique auteur lusophone à avoir reçu le prix Nobel de littérature, en 1998, qu'ainsi le prix Camões en 1995.
Ecrivain passionné, l’ensemble de ces œuvres se présente comme un véhicule exceptionnel pour la catharsis et la réflexion philosophique, et nous invite à “nous réveiller”. Cet effort d’éveil des esprits lui a permis de façonner un style littéraire unique. Auteur, traducteur, journaliste, très engagé à gauche, notamment lors de la révolution des œillets, en 1974, ses œuvres n’ont pas toujours été bien accueillies dans son pays. José Saramago a connu l’exil. Il est aujourd’hui reconnu et traduit dans le monde entier.
Écrivain portugais (1922-2010) José Saramago est une des personnalités majeures de la littérature européenne de la fin du XXème début XXIeme siècle, et reste jusqu'au jour l'unique auteur lusophone à avoir reçu le prix Nobel de littérature, en 1998, qu'ainsi le prix Camões en 1995.
Ecrivain passionné, l’ensemble de ces œuvres se présente comme un véhicule exceptionnel pour la catharsis et la réflexion philosophique, et nous invite à “nous réveiller”. Cet effort d’éveil des esprits lui a permis de façonner un style littéraire unique. Auteur, traducteur, journaliste, très engagé à gauche, notamment lors de la révolution des œillets, en 1974, ses œuvres n’ont pas toujours été bien accueillies dans son pays. José Saramago a connu l’exil. Il est aujourd’hui reconnu et traduit dans le monde entier.
Écrivain portugais (1922-2010) José Saramago est une des personnalités majeures de la littérature européenne de la fin du XXème début XXIeme siècle, et reste jusqu'au jour l'unique auteur lusophone à avoir reçu le prix Nobel de littérature, en 1998, qu'ainsi le prix Camões en 1995.
Ecrivain passionné, l’ensemble de ces œuvres se présente comme un véhicule exceptionnel pour la catharsis et la réflexion philosophique, et nous invite à “nous réveiller”. Cet effort d’éveil des esprits lui a permis de façonner un style littéraire unique. Auteur, traducteur, journaliste, très engagé à gauche, notamment lors de la révolution des œillets, en 1974, ses œuvres n’ont pas toujours été bien accueillies dans son pays. José Saramago a connu l’exil. Il est aujourd’hui reconnu et traduit dans le monde entier.
Écrivain portugais (1922-2010) José Saramago est une des personnalités majeures de la littérature européenne de la fin du XXème début XXIeme siècle, et reste jusqu'au jour l'unique auteur lusophone à avoir reçu le prix Nobel de littérature, en 1998, qu'ainsi le prix Camões en 1995.
Ecrivain passionné, l’ensemble de ces œuvres se présente comme un véhicule exceptionnel pour la catharsis et la réflexion philosophique, et nous invite à “nous réveiller”. Cet effort d’éveil des esprits lui a permis de façonner un style littéraire unique. Auteur, traducteur, journaliste, très engagé à gauche, notamment lors de la révolution des œillets, en 1974, ses œuvres n’ont pas toujours été bien accueillies dans son pays. José Saramago a connu l’exil. Il est aujourd’hui reconnu et traduit dans le monde entier.
ASPECTS TECHNIQUES
Spectacle adaptable à toutes sortes de lieux : salles de spectacles, bibliothèques, médiathèques ...
Participants : 2 comédiens, un régisseur
Duré : 50 minutes
Ages : Tout public à partir de 12 ans
Jauge maxi : 200
Montage : 3 heures
Démontage : 1 heures
Espace scénique idéal :
Ouverture 5m
Profondeur 5m
Hauteur 2m50
Régie lumière et son :
Au cas par cas en fonction des lieux
Dans un souci de souplesse, la compagnie peut fournir le matériel technique lumière et son, nécessaire aux représentations
Divers :
Une rencontre avec le public à l'issue du spectacle est bienvenue.
Nous consulter.
Droits d'auteur : SACD
Crédit photos : Isoline Favier
Graphismes : thedingres
ASPECTS TECHNIQUES
Spectacle adaptable à toutes sortes de lieux : salles de spectacles, bibliothèques, médiathèques ...
Participants : 2 comédiens, un régisseur
Duré : 50 minutes
Ages : Tout public à partir de 12 ans
Jauge maxi : 200
Montage : 3 heures
Démontage : 1 heures
Espace scénique idéal :
Ouverture 5m
Profondeur 5m
Hauteur 2m50
Régie lumière et son :
Au cas par cas en fonction des lieux
Dans un souci de souplesse, la compagnie peut fournir le matériel technique lumière et son, nécessaire aux représentations
Divers :
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SACD
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ASPECTS TECHNIQUES
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Démontage : 1 heures
Espace scénique idéal :
Ouverture 5m
Profondeur 5m
Hauteur 2m50
Régie lumière et son :
Au cas par cas en fonction des lieux
Dans un souci de souplesse, la compagnie peut fournir le matériel technique lumière et son, nécessaire aux représentations
Divers :
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Crédit photos : Isoline Favier
Graphismes : thedingres
ASPECTS TECHNIQUES
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Participants : 2 comédiens, un régisseur
Duré : 50 minutes
Ages : Tout public à partir de 12 ans
Jauge maxi : 200
Montage : 3 heures
Démontage : 1 heures
Espace scénique idéal :
Ouverture 5m
Profondeur 5m
Hauteur 2m50
Régie lumière et son :
Au cas par cas en fonction des lieux
Dans un souci de souplesse, la compagnie peut fournir le matériel technique lumière et son, nécessaire aux représentations
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Crédit photos : Isoline Favier
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